« Il n’est point de bonheur sans liberté ni de liberté sans courage » Périclés
Je choisis d’être libre ici et maintenant.
Je choisis d’être libre malgré mes peurs, mes doutes, mes hésitations et mes peines. Je choisis la liberté chaque fois que mes peurs m’emprisonnent, que mes doutes m’assaillent, que mes souffrances m’alourdissent et que ma tristesse me ronge.
Je choisis d’être libre ici et maintenant malgré la volonté de ceux qui souhaitent me coller une étiquette, me définir, me catégoriser, me juger ou me dénigrer.
Je choisis la liberté d’être moi-même dans cette société où il est plus facile d’être comme tout le monde. Je choisis la liberté face à l’oppression, la tyrannie et la manipulation.
Je choisis d’incarner mes valeurs profondes, d’exprimer ce qui me touche et ce qui m’inspire. Je choisis de vivre ce qui me fait vibrer. Chaque jour je choisis de respecter mon rythme intérieur et de suivre mes inspirations. Je choisis de faire grandir la liberté en moi en me transformant et en grandissant. J’honore la vie qui s’écoule en moi. Je laisse mes émotions me traverser librement en cessant de les emprisonner. (Lire l’article « Conseils du Divin au sujet des émotions négatives »)
J’accueille le choix de chacun même si ce choix n’est pas la liberté. Je bénis tous les moments où je n’ai pas su être libre. J’honore qui je suis chaque fois que je ne sais pas être libre.
Je suis libre de choisir la liberté ou de ne pas la choisir.
Je suis libre de me rendre libre même dans les pires situations d’emprisonnement. A chaque instant, j’ai la liberté de choisir de ressentir la liberté.
Qui, en moi, dit que je ne suis pas libre ? Quelle partie en moi me tyrannise en me persuadant que je ne suis pas libre ? Je suis libre si je fais ce choix au plus profond de moi.
« Je serai libre quand je serai en weekend ou en vacances, quand les enfants auront grandi, quand je serai à la retraite, quand j’aurai remboursé mon crédit, quand j’aurai assez d’argent pour m’offrir tout ce que je souhaite… »
Et si nous décidions d’être libre ici et maintenant, quelle que soit la situation ? Et si nous cessions de nous maltraiter et de nous ôter nous-même la liberté que nous méritons ?(Lire l’article « Qu’attendez-vous pour être heureux ici et maintenant? »)
Permettez-vous d’être libre ici et maintenant. Comment vous sentiriez-vous si là, tout de suite, vous étiez LIBRE ?
Nous sommes des êtres libres. Mais sans doute avons-nous besoin d’expérimenter l’emprisonnement mental, émotionnel et physique pour réaliser que la liberté peut se vivre malgré tout.
Je choisis d’être libre pas nécessairement en faisant ce que je veux quand je veux. Je choisis d’être libre même lorsque je crois que je ne le suis pas. Je choisis de me libérer de TOUT ce qui me fait croire que je ne suis pas libre.
Et alors je suis complètement LIBRE ! Au plus profond de moi je vibre la LIBERTÉ.
Lorsque Jésus a été crucifié, n’a-t-il pas voulu nous enseigner qu’au-delà des pires atrocités mentales et physiques, notre liberté reste intacte puisqu’il a transcendé toutes les oppressions en ressuscitant?
Et si la vraie liberté se trouvait au-delà du corps, des émotions et du mental ?
Et si la liberté était un espace de libre-accès chaque fois que nous en avons besoin ?
Un espace sacré de reconnexion avec notre pure éternité.
Un espace infini de retrouvailles avec notre pure LIBERTÉ.
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Bonsoir Caroline,
Je suis arrivée sur ton blog « par hasard ». Et depuis, je lis chacun de tes articles. Dans ta biographie, j’ai l’impression de me lire, à quelques détails près.
Merci pour ta belle lumière, pour tes mots. Merci car cela me nourrit, m’inspire, et m’aide.
Christelle
Merci beaucoup Christelle ! Je suis heureuse de ces ressemblances. Effectivement il n’y a pas de hasard…
Bonjour à tous ! Hier midi, pendant le déjeuner, j’ai ressenti pour la énième fois une souffrance dans mon coeur. J’ai cherché une trace de bonheur que je pourrais suivre pour remonter à un bonheur plus grand mais rien à faire ; j’avais l’impression qu’il n’y avait que souffrance en moi. Je me suis alors demandé : « Pourquoi cherches – tu ton bonheur dans la souffrance et non en celui qui la ressent c’est – à – dire en toi ? ». Et là, j’ai compris : Ressentir la souffrance ne signifie pas qu’il n’y a que de la souffrance en nous. Si l’on focalise notre attention sur nos sensations désagréables, c’est parce qu’on croit qu’on arrivera à les détruire et à être ainsi heureux. Or, si l’on élargie notre champ de vision (ou plutôt notre champ de sensation), nous voyons qu’au – delà de la souffrance, il y a le bonheur. Le bonheur n’efface pas la souffrance, il la banalise.
Je termine en vous conseillant d’écouter le générique de la série « Heartland ». Avant chaque concours, la mère d’Amy lui disait : « Reste calme et tout ira bien. ». Pendant que je me relis, j’ai l’impression que je meurs pour renaître.